Les couleurs de la mort

Un tueur en série, qui reconstitue des toiles de Maîtres en chair et en os, sévit en Île-de-France. La Presse a tôt fait de le baptiser « L’Artiste ». Max Kowalski et son équipe sont chargés de l’enquête. Au cours de celle-ci, Max se rend compte que l’Artiste n’est pas fou comme Jacques l’éventreur, ou d’autres. Non, il n’a pas non plus, de voix intérieures ou de visions. Il ne s’agit pas de la même folie. En tous cas, pas de cette folie clairement définie, identifiable… L’Artiste n’est pas un dément. Il est intelligent, très cohérent et méthodique. C’est un tueur qui s’est donné une mission. Mais laquelle ? Malgré tout, Max et son équipe avancent, mais il est des choses qu’il vaudrait mieux ne jamais savoir, ne jamais découvrir. Le plus étrange, est qu’à mesure que l’enquête progresse, Max a l’impression de connaître le tueur. Il est déstabilisé, et perd ses repères. Il doit impérativement reprendre le contrôle de ses émotions, mais une enquête est parfois « l’endroit » idéal pour se perdre.